Chirurgie de reconstruction

Accueil Gynécologie La consultation gynécologique Frottis cervico vaginal Colposcopie Echographie gynécologique Cancer pelvien Obstétrique Consultation préconceptionnelle Suivi de la grossesse Suivi de grossesse à risque Échographies Obstétricales Consultation postnatale Amniocentèse Chirurgie Hystéroscopie Cœlioscopie Laparotomie CHIRURGIE INTIME Chirurgie mammaire Chirurgie de reconstruction Fertilité Fertilité et procréation médicale assistée Rendez-vous LA RECONSTRUCTION MAMMAIRE La reconstruction mammaire fait partie intégrante de la prise en charge des cancers du sein. Elle peut être envisagée, si la patiente le souhaite, lorsqu’une mastectomie est nécessaire. La reconstruction mammaire peut être réalisée dans le même temps opératoire que la mastectomie, on parle de reconstruction immédiate, ou dans un second temps, on parle alors de reconstruction différée. En cas de reconstruction mammaire immédiate, le chirurgien réalise dans le même temps opératoire l’ablation du sein et le remplacement de celui-ci par une prothèse placée derrière le muscle pectoral, c’est-à-dire en arrière du muscle de la paroi thoracique. Il peut également s’agir de portions du muscle grand dorsal (muscle du dos), ou du muscle grand droit, (muscle de la paroi abdominale) qui seront utilisées seules ou en association avec une prothèse. Lorsque des séances de radiothérapie sont nécessaires après la mastectomie ou qu’une chimiothérapie s’avère obligatoire, la reconstruction sera réalisée en différé, après la fin des traitements afin de ne pas les retarder. Elle utilise les mêmes techniques que la reconstruction immédiate (pose d’une prothèse et/ou utilisation de lambeaux musculaires). Le choix de la technique de reconstruction doit prendre en compte différents critères tels que la quantité et la santé du tissu dans la zone à reconstruire, la taille et la forme de l’autre sein et le choix et les attentes de la patiente. Quels que soient le moment de réalisation ou la méthode retenue, une reconstruction mammaire nécessite, le plus souvent, deux ou trois interventions, avec un intervalle de 3 à 6 mois entre chacune d’entre elles. La première intervention a pour but de reconstruire le volume du sein par la pose d’une prothèse et/ou l’utilisation de lambeaux musculaires. La seconde intervention a pour but d’harmoniser les deux seins en retravaillant le volume et le galbe de la reconstruction, par exemple par transfert de graisse (on parle de lipo-modelage), et/ou en réalisant une intervention sur le sein non malade (réduction de son volume ou correction de sa forme). La troisième intervention consiste à reconstruire la zone de l’aréole et du mamelon. Rue Andalous Imm Naoufel 3eme étage N°6 (au dessus cafe Madrid) 05366-06005 06626-71593 dr.iliasgyn@gmail.com Spécialités Gynécologie Obstétrique Chirurgie Fertilité Réseau social Facebook Instagram Whatsapp Email: dr.iliasgyn@gmail.com Prenez rendez-vous © COPYRIGHT 2022 Drilias – Developed by Jaryvity

Chirurgie mammaire

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En effet, le cancer du sein est une maladie dite hétérogène : il existe plusieurs types de tumeurs, qui seront traitées différemment. Tout dépend d’abord du stade auquel le cancer est détecté. – Si les cellules cancéreuses sont confinées au niveau des canaux ou des lobules du sein, il s’agit d’un carcinome in situ. – En revanche, si les cellules cancéreuses ont traversé la membrane dite « basale » des canaux  ou des lobules et ont envahi les tissus avoisinants, il s’agit d’un carcinome infiltrant. Les cellules cancéreuses peuvent se propager soit dans les ganglions situés sous l’aisselle, soit par voie veineuse. Il y a risque de développer des métastases. * Dépistage du cancer du sein Le cancer du sein se soigne bien s’il est détecté tôt. C’est dans cette optique que les autorités sanitaires proposent désormais à toutes les femmes entre 50 et 74 ans de se faire dépister tous les 2 ans. Si le cancer du sein peut survenir à tout âge, il touche le plus fréquemment les femmes après la ménopause. Ce dépistage comprend deux examens. La palpation des seins, pour détecter d’éventuelles anomalies La mammographie, une véritable radiographie des seins. *  Diagnostic du cancer du sein Pour confirmer et affiner le diagnostic, les médecins utilisent d’abord les examens d’imagerie puis procèdent à une analyse biologique de la tumeur. >> Le premier examen est souvent la mammographie. C’est une radiographie, à rayon X, des seins. Une tumeur se traduit soit par une masse soit par la présence de petits points blancs, les « micro-calcifications », dont le nombre, la forme, la répartition permettent de suspecter ou non l’existence d’un cancer. >> La mammographie est parfois complétée par deux autres examens d’imagerie. – L’échographie utilise quant à elle la technique des ultrasons. Elle permet de dire, par exemple, si la boule repérée à l’échographie, est un kyste composé de liquide ou plutôt une tumeur solide. – Plus rarement, pour des cas particuliers,  le médecin peut demander un examen d’IRM (imagerie à résonnance magnétique). >> Après l’imagerie, la confirmation du diagnostic se fait grâce à l’examen anatomo-pathologique d’un fragment du tissu mammaire. Seul l’examen effectué au microscope d’un prélèvement permet de confirmer avec certitude le diagnostic d’un cancer du sein. Plusieurs possibilités s’offrent au médecin. – Les microbiopsies avec repérage manuel ou écho-guidée – La macrobiosie stereotaxique : le repérage se fait par rayons X >> Ces prélèvements sont ensuite étudiés au microscope, ce qui permet de définir s’il s’agit d’une lésion bénigne ou d’un cancer. Dans le second cas, il faudra alors aller plus loin et caractériser la tumeur : stade, type de cancer, etc. >> Après analyse, si les résultats laissent penser que le cancer a pu s’étendre dans d’autres parties du corps, des examens complémentaires peuvent être prescrits, radiographie du thorax, scanner, IRM et scintigraphie osseuse notamment. Traitement de cancer de sein Différents types de traitements peuvent être utilisés pour traiter un cancer du sein : la chirurgie, la radiothérapie, l’hormonothérapie, la chimiothérapie et les thérapies ciblées. La chirurgie du cancer du sein est une des étapes du traitement du cancer, celle-ci n’aura lieu qu’après une décision thérapeutique multidisciplinaire.   LA CHIRURGIE DU CANCER DU SEIN La chirurgie du sein est le traitement standard du cancer du sein. Elle reste le moyen le plus efficace pour guérir un cancer du sein au stade précoce. Elle est presque toujours utilisée à un moment ou à un autre du traitement, sauf en cas de contre-indication. Toutefois, elle est rarement suffisante à elle seule et doit souvent être complétée par d’autres traitements. Ceux-ci dépendent du stade d’évolution du cancer, des caractéristiques de la tumeur et du type de chirurgie choisi. La chirurgie du cancer du sein vise trois objectifs : Enlever la tumeur Confirmer le diagnostic et préciser le stade d’évolution du cancer, notamment en prélevant et en examinant certains ganglions Conserver ou restaurer la taille et la forme du sein après l’ablation de la tumeur ou de la totalité du sein. LES DIFFÉRENTS TYPES DE CHIRURGIE Il existe deux types de chirurgie pour le cancer du sein : La chirurgie conservatrice, appelée tumorectomie Et l’ablation du sein, appelée mastectomie. Selon les situations, une intervention sur les ganglions axillaires complète l’opération. LA TUMORECTOMIE OU LA CHIRURGIE CONSERVATRICE La chirurgie conservatrice a pour but d’enlever la totalité de la tumeur sans enlever la totalité du sein. La tumeur est enlevée avec une marge de sécurité, c’est-à-dire une zone de tissu sain autour de la lésion maligne, afin de s’assurer qu’il ne reste pas de cellules malignes dans le sein. Cette marge de sécurité limite ainsi le risque de récidive. Le mamelon et l’aréole sont conservés, sauf lorsque la tumeur est située juste au-dessous. La chirurgie conservatrice est très souvent associée à un examen des ganglions par la technique du ganglion sentinelle et suivie d’une radiothérapie complémentaire sur le sein opéré. Lorsque l’analyse de la tumeur et du tissu alentour montre que la marge de sécurité est insuffisante, le chirurgien est amené à proposer une seconde intervention chirurgicale. Il peut aussi arriver qu’après une tumorectomie, les résultats définitifs révèlent que la tumeur n’a pas été complètement excisée, ce qui peut conduire le chirurgien à proposer une mastectomie. Inversement, lorsque la taille de la tumeur est trop grande pour permettre une tumorectomie, le médecin peut proposer une

CHIRURGIE INTIME

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Il s’agit d’un déficit de tonicité des muscles périnéaux qui provoque un relâchement de la fourchette vulvaire et une augmentation de la capacité vaginale. Le problème n’est pas anatomique mais fonctionnel, en effet certaines femmes peuvent se plaindre d’émission de gaz vaginaux lors des rapports (pets vaginaux), de diminution mécanique du plaisir sexuel, également ressenti par le partenaire. La béance vulvaire peut aussi provoquer une émission vaginale de liquide après un bain (signe de la piscine). Le traitement est avant tout préventif par la rééducation périnéale du post partum. Cette rééducation peut être réitérée auprès d’un kinésithérapeute ou d’une sage-femme spécialisée. L’action se résume à un meilleur contrôle de la contraction musculaire mais ne remplacera pas un muscle lésé. Cette rééducation peut être réalisée en l’absence de défect anatomique et en complément de la chirurgie. Une intervention de chirurgie réparatrice peut toutefois être indiquée. Elle consiste en un rapprochement musculaire des berges vulvaires déhiscentes, le but étant de réaliser un renforcement musculaire et un rétrécissement de l’orifice vaginal. Trois types d’interventions chirurgicales peuvent être proposées en ambulatoire: périnéoplastie, lifting du vagin ou vaginoplastie Ces méthodes peuvent être complétées par un rétrécissement du vagin par injection de graisse autologue (obtenue par lipo aspiration de la patiente et réinjection) et/ou d’acide hyaluronique. Il est également possible de réaliser une réduction de la surface vaginale par Laser ou résection chirurgicale de l’excédent vaginal. Ces méthodes chirurgicales sont aujourd’hui efficaces, mais si les résultats anatomiques sont bons, l’amélioration de la qualité de vie sexuelle est plus aléatoire. Il convient donc de bien sélectionner les indications et de réserver ces techniques aux patientes très gênées après échec des techniques médicales Réinjection de graisse En esthétique, la réinjection de graisse ou greffe de tissu cellulo-adipeux est utilisée pour le rajeunissement vaginal et vulvaire, en corrigeant une béance vulvaire, repulpant les grandes lèvres ou en rétrécissant l’orifice vaginal. Sur le plan fonctionnel, la réinjection de graisse permet de corriger plusieurs pathologies telles que certaines douleurs lors des rapports (dyspareunies), la sécheresse vaginale. Elle est notamment révolutionnaire dans la prise en charge des traumatismes obstétricaux et chirurgicaux : cicatrices d’épisiotomie ou de déchirure douloureuses et/ou disgracieuses. Il est même possible de corriger une béance vulvaire, à l’origine d’inconfort, de gaz vaginaux, de sensation de laxité pendant les rapports. La nymphoplastie de réduction La nymphoplastie de réduction ou plastie de réduction des petites lèvres est indiquée pour les patientes présentant une hypertrophie des petites lèvres, réelle ou ressentie. Les patientes expriment une gêne d’ordre esthétique et physique accentuée par l’évolution des modes vestimentaires (jeans très serrés, string,…). Il s’agit d’une malformation isolée sur les petites lèvres apparaissant très développées et entraînant à la fois un aspect disgracieux et une gêne fonctionnelle dans la vie quotidienne, les activités sportives et sexuelles. La plainte se révèle le plus souvent à l’adolescence (sportive) ou lors du début de l’activité sexuelle, mais peut également survenir après les accouchements. Ces patientes peuvent vivre un véritable complexe, parfois depuis l’adolescence. Il existe 2 cas de figure : l’hypertrophie vraie des petites lèvres, qui relève d’une chirurgie réparatrice. Cette hypertrophie et son retentissement sur la vie quotidienne doivent être évalués objectivement par le chirurgien. l’hypertrophie « ressentie », l’asymétrie,  pour lesquelles il n’existe pas d’hypertrophie au sens médical du terme alors que la patiente décrit une gêne esthétique et/ou fonctionnelle. La technique chirurgicale consiste en l’exérèse de l’excédent de tissu, de façon à diminuer la taille des petites lèvres de manière symétrique. La technique idéale est une plastie en V ou Lambda, qui a l’avantage de préserver le bord naturel des petites lèvres avec une cicatrice quasi invisible. L’intervention est réalisée en ambulatoire, sous une courte anesthésie générale. Rue Andalous Imm Naoufel 3eme étage N°6 (au dessus cafe Madrid) 05366-06005 06626-71593 dr.iliasgyn@gmail.com Spécialités Gynécologie Obstétrique Chirurgie Fertilité Réseau social Facebook Instagram Whatsapp Email: dr.iliasgyn@gmail.com Prenez rendez-vous © COPYRIGHT 2022 Drilias – Developed by Jaryvity

Laparotomie

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Cœlioscopie

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Hystéroscopie

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Lorsque l’on découvre une anomalie de la cavité utérine et qu’il y a besoin d’un geste chirurgical afin de corriger cette anomalie, on parlera, alors, d’hystéroscopie opératoire: celle-ci nécessitera soit une anesthésie locale, soit une anesthésie générale voire pour certains locorégionale (péridurale ou rachianesthésie). Hystéroscopie diagnostique L’Hystéroscopie dite diagnostique consiste à introduire dans l’utérus un tout petit endoscope très fin qui permet de regarder l’intérieur du col puis de la cavité utérine. Elle doit être réalisée entre le 5e et le 14e jour du cycle, afin : D’une part que les règles soient terminées (pour mieux voir), D’autre part que l’on soit sûr de l’absence de grossesse (donc avant l’ovulation), sauf chez les patientes qui prennent un traitement qui bloque le cycle et pour les patientes ménopausées. Cet examen est indolore et ne nécessite aucune prémédication, ni aucune préparation particulière. Les suites de l’hystéroscopie sont en général indolores, parfois un très léger saignement peut survenir pendant quelques heures. On utilisera cette méthode d’investigation chaque fois que l’on veut contrôler visuellement la cavité utérine : En cas de stérilité ou infertilité : afin de vérifier que rien ne gêne l’implantation d’un embryon, Dans le bilan des (PMA) Procréations Médicalement Assistées (FIV, inséminations, dons d’ovocytes…) dans le même but, vérifier qu’aucune lésion n’interfère avec la nidation de l’embryon comme par exemple une infection ou inflammation de la muqueuse, seulement visible en hystéroscopie, En cas d’échographie pelvienne anormale afin de conforter les anomalies vues en échographie et juger de la nécessité ou non de réaliser un geste opératoire, Dans le bilan des saignements anormaux : saignement entres les règles (métrorragies) ou règles abondantes (ménorragies) pour vérifier la présence ou non de « polypes » ou de « fibromes », d’une anomalie de l’endomètre (muqueuse (sorte de moquette) qui recouvre l’intérieur de la cavité), Dans le bilan des saignements après la ménopause afin d’éliminer un éventuel cancer, ou d’une lésion précancéreuse. Après une hystérographie anormale qui monterait une anomalie de la cavité, Dans le bilan des synéchies (accolements de la muqueuse de l’utérus) qui participent à une infertilité, Dans le bilan des malformations utérines : comme par exemple, les cloisons utérines qui séparent la cavité en deux plus petites cornes, En cas de stérilet déplacé ou sans fil visible, afin de le retrouver et de le retirer, le cas échéant (en consultation, sans voir recours à une anesthésie générale), En cas de polype de l’utérus pour vérifier sa position et sa nature, En contrôle après intervention chirurgicale de l’utérus, afin de vérifier que la cavité est bien restituée, « en bon état », c’est un contrôle de la bonne cicatrisation. Dans le bilan des fausses couches spontanées lorsqu’elles se répètent, afin de vérifier qu’il n’existe pas une cause intra utérine à ces fausses couches (comme par exemple un fibrome) ou une conséquence de ces fausses couches sur la cavité (rétention de fragments de placenta, synéchies…) qui peuvent la rendre impropre à une future nidation (risque de récidive de fausse couche). Hystéroscopie opératoire L’hystéroscopie opératoire consiste à « opérer » dans l’utérus en contrôlant les gestes du chirurgien par une vision directe dans la cavité grâce à une caméra endoscopique reliée à l’ hystéroscope. L’hystéroscopie opératoire est réalisée en ambulatoire : c’est-à-dire que l’on n’est hospitalisée que quelques heures et que l’on rentre chez soi le soir même (sauf exceptions liées : à l’état général (maladies chroniques ou invalidantes), à une distance importante de son domicile, à l’absence de personne accompagnante…). L’intervention est réalisée au bloc opératoire dans un établissement de soins le plus souvent sous une anesthésie générale légère (sans intubation, ni ventilation assistée) ou bien une anesthésie locale pure (infiltration du col avec de la xylocaïne), plus rarement une anesthésie locorégionale (péridurale ou rachi anesthésie), Les suites opératoires sont en général très simples: quelques saignements et peu ou pas de douleurs. Cette intervention est donc indiquée chaque fois qu’il sera nécessaire et possible de corriger certaines anomalies par voie interne (c’est à dire par les voies naturelles sans « ouvrir ») comme : Les polypes : Il s’agit d’une petite excroissance de la muqueuse de l’utérus que l’on appelle l’endomètre, sa taille peut être variable de quelques millimètres à plusieurs centimètres. En général ces lésions sont responsables de saignements qui surviennent en dehors des règles (les métrorragies), Ils peuvent également participer à une éventuelle infertilité lorsqu’ils sont volumineux ou lorsqu’ils sont placés dans une zone de l’utérus où se produit l’implantation de l’embryon (dans le fond de la cavité). Ils peuvent très rarement dégénérer (devenir cancéreux), sauf en période péri ou post ménopausique où il convient de les vérifier plus précisément par une analyse histologique. Myome ou « fibromyome » ou encore « léiomyome », connu encore sous le nom du « fibrome » est une tumeur bénigne faite de la prolifération de cellules musculaires issues de la paroi de l’utérus, cela à -un peu- la consistance d’une balle de golf mais de taille très variable depuis celle d’un petit pois à celle d’une balle de tennis voire plus rarement plus volumineuses encore (pamplemousse ou plus) Les fibromes ou myomes sont toujours bénins mais il convient de s’assurer de l’absence de lésion associée qui pourrait être de nature maligne surtout après la ménopause. Un myome est une tumeur musculaire bénigne de l’utérus qui peut être responsable de douleurs, de saignements ou de difficultés pour tomber enceinte Si le fibrome ou myome pousse dans l’intérieur de la cavité utérine on dit qu’il est sous muqueux, il est alors accessible par hystéroscopie et il est donc aussi possible de le retirer par voie naturelle. Les synéchies : Il s’agit d’un accolement des 2 faces de l’utérus, normalement